Alfred Kinsey
Le point sur Alfred Kinsey, qu'on appelle toujours le "père de la révolution sexuelle", ou le "pionnier de la recherche sur la sexualité", un pseudo scientifique aux méthodes barbares qui pourtant passe pour une référence en matière de sexualité. Si aujourd'hui, la théorie pédophile qui veut que les enfants recherchent des rapports sexuels avec les adultes n'est pas encore enterrée, c'est aussi parce que beaucoup de recherches se basent encore sur les délires de Kinsey.
Zoologue spécialiste de l’étude des insectes, Alfred Kinsey s’est targué d’étudier les penchants sexuels humains, nous dit-on. Il a donc publié les « rapports Kinsey », qui hélas servent toujours de référence, notamment aux pédophiles, mais aussi aux adeptes de la « théorie du genre », qui sont aujourd’hui en train d’imposer des cours sur la sexualité de plus en plus tôt chez les enfants. Au nom de quoi? Eh bien de la modernité.
En 1947, il ouvre à l’université de l’Indiana l’Institute for Research in Sex, rebaptisé ensuite l’Institut Kinsey pour la recherche sur le sexe, le genre et la reproduction. L’année suivante, il publie sa première étude, Sexual Behaviour in the Human Male, très largement financé par la fondation Rockefeller. En 1954, vient son étude sur la sexualité des femmes.
Le problème avec Kinsey, c’est que ses sujets d’étude étaient principalement des délinquants sexuels et des prostituées, et qui se sont fait avoir puisqu’il s’agit de prisonniers, et que Kinsey a oublié de le dire en faisant passer ses sujets d’étude pour représentatifs de la société dans sa globalité. Du coup, le vice de ces pervers est passé, et passe toujours, pour la « norme ». D’ailleurs, un film à gros budget de 2004 a fait l’apologie de ses théories, avec Liam Neeson dans le rôle de Kinsey[1].
Comment en est-on arrivé là ?
Pour Alfred Kinsey, « le seul acte sexuel non naturel est celui qu’on ne peut faire ».
Kinsey a été l’un des premiers à banaliser l’homosexualité, mais aussi l’acte « pédophile ». Logiquement, il a été repris par divers lobbies gays. Il avait aussi des pratiques de sexe en groupe, de sado masochisme, et encourageait ses collaborateurs à faire de même. Cela donnait lieu à des séances de partouzes filmées auxquelles lesdits collaborateurs étaient pour ainsi dire obligés de participer.
Mais, Kinsey a surtout planché sur ce qu’il appelait la « sexualité infantile ». Avec des tests grandeur nature.
L’échantillonnage
Dès 1954, l’American Statistical Association a critiqué l’échantillonnage de Kinsey. Un groupe de trois chercheurs a déclaré : « Une sélection aléatoire de trois personnes aurait probablement été plus représentative qu'un groupe de 300 choisi par M. Kinsey ». Plus de 25% de ses témoignages provenaient de prostituées et d’agresseurs sexuels condamnés.
En dehors de cela, Kinsey poussait ses collaborateurs ou même sa femme à des pratiques sexuelles de groupes et à tous les excès en la matière. Evidemment, tout était filmé, et le fonds d'archives de l'Institut Kinsey est digne de celle d'un musée du porno. Beaucoup de ses anciens proches ont expliqué que les moeurs au sein de l'équipe étaient des plus débridées. Tout ce petit monde faisait également partie des échantillons de Kinsey, et leurs partouzes entraient dans ses recherches.
Et tout cela n'empêchait pas Kinsey de se présenter comme un brave père de famille conservateur, à la vie des plus banales.
Dans « Sexual sabotage », le professeur Judith Reisman dénonce les conséquences de ces études biaisées dès le départ, et la manière dont l’industrie médiatique a propagé ces « valeurs ».
Au final, les échantillons de Kinsey ne sont absolument pas révélateurs de la réalité de la population, et pourtant il les a fait passer comme tels. En matière de comportement sexuel des enfants, ce sont carrément des pédophiles qui étaient ses références. C'est ainsi que les statistiques fournies par Kinsey peuvent laisser perplexes: la moitié des hommes et des femmes ont eu une "réponse érotique" après s'être fait frapper, ou que 46% des hommes auraient eu des rapports homosexuels.
Au final, on retient que tout le monde est atteint d'une déviance sexuelle, allant de la zoophilie au sadisme, en passant par la "pédophilie". On se doute de l'effet produit par cette littérature dans l'Amérique puritaine des années 50. Mais 60 ans plus tard, il reste encore beaucoup des théories de Kinsey, le "révolutionnaire sexuel".
Et il est impossible de vérifier ses sources, puisque les 18.000 histoires que Kinsey et son équipe revendiquent d'avoir recensées sont gardées sous clé dans les archives de l'Institut Kinsey. Notamment, pour protéger les pédophiles qui ont participé aux expérimentations.
« Pédophilie »
L’un de ses axes de recherche favoris était la « sexualité infantile ». Il cherchait à tout savoir sur les orgasmes des enfants, et a mené ses recherches avec l’aide de spécialistes, c’est-à-dire des pédophiles.
Officiellement, on nous explique que seulement 9 témoins interrogés sur plus de 5.000 ont évoqué des rapports sexuels avec des enfants, et que « Le Dr Kinsey et son équipe n’ont jamais mené d’expériences avec des enfants ».
Kinsey s’est aussi intéressé aux recherches du pédophile français René Guyon sur la sexualité, et c’est d’ailleurs l’Institut Kinsey qui détient le fonds d’archives de GuyonDans la lignée de la « pensée » de Guyon, un américain avait créé la René Guyon Society aux USA, avec pour seul but la dépénalisation de la pédophilie.
Judith Reisman a retrouvé plusieurs victimes de Kinsey. Car en réalité, il détenait toute une collection de films de viols d’enfants, opérés de diverses manières, et sur de longues périodes de temps. En effet, Kinsey cherchait à savoir quand un enfant avait un orgasme (selon lui le temps moyen pour qu’un enfant ait un orgasme était de 3 minutes 02). Et bien qu’énormément d’entre eux n’avaient pas selon lui d’orgasmes suite à ces viols répétés malgré des critères extrêmement extensifs, il a continué ses recherches qui relevaient de la pure torture [2].
L’une de ces victimes, 70 ans après les faits, a expliqué qu’elle avait été violée par son père et son grand-père de manière répétée depuis ses 7 ans, et réclame une enquête du Congrès sur ces expériences. Elle dit que son père avait un chronomètre en main pour calculer combien de temps elle mettait à avoir un « orgasme » : « je n’aimais pas cela, j’avais des convulsions mais il s’en fichait. Il disait que toutes les petites filles faisaient cela avec leur père, c’est juste qu’on n’en parle pas ». En outre, les scènes étaient souvent filmées et les films étaient envoyés chez Kinsey.
Elle ajoute que son père et son grand-père étaient payés par Kinsey pour mener cette « étude », et que son grand-père était un ami personnel de Kinsey depuis l’université, dans les années 20. Les deux remplissaient des grilles de données, qu’ils envoyaient à Kinsey. Quand Kinsey lui demandait à elle si elle aimait sa famille, devait répondre que oui afin que l’argent continue à arrive.
D’après la table 34 des recherches de Kinsey, un bébé de 11 mois a ainsi eu 14 orgasmes en 38 minutes. Un autre enfant, âgé de 4 ans, aurait eu quant à lui 26 orgasmes en l’espace de 24 heures. On imagine aisément les séances d’ « études » ayant engendré de telles statistiques. Pour son étude sur les orgasmes multiples chez les préadolescents, 28 garçons et bébés ont été violés de manière répétée.
L’horreur devient plus grande encore quand on comprend ce qu’est un orgasme pour Kinsey. Selon lui, avant « l’orgasme », l’enfant se bat contre « le partenaire » et « fait de violentes tentatives pour éviter l’orgasme bien qu’ils prennent un certain plaisir à la situation ». En fait, Kinsey a orienté toutes ses « recherches » afin de prouver que les enfants étaient « capables » d’avoir un orgasme.
D’après certains chercheurs, Kinsey aurait mené ses « expériences de stimulation sexuelle » sur 317 garçons au minimum, pour son livre sur le comportement sexuel des hommes. D’après d’autres, 2.035 enfants dont 1.888 garçons auraient servi de cobayes. Les chiffres sont de toute manière considérables. Pour cela, Kinsey et son équipe contactaient des organisations de pédophiles. Il a aussi utilisé le matériel vidéo fourni des pédocriminels en série, dont un certain Rex King, condamné à 800 chefs d’accusations de viols d’enfants, et qui filmait scrupuleusement ses perversions. Kinsey aurait même rémunéré Rex King, appelé « Mister X. », pour qu’il mène ces expériences[3]. Ses collaborateurs ont d’ailleurs évoqué ce type de collaboration avec d’autres pédocriminels, au moins neuf semble-t-il[4].
Mais, pour Kinsey l’idéal était carrément d’assister, voir de participer aux viols, selon son photographe attitré, un dénommé Clarence Tripp. C’est pour cela qu’un certain nombre d’expériences ont été réalisées « en laboratoire ». L’équipe de Kinsey s’est par exemple vantée d’avoir « observé » des orgasmes chez quatre fillettes de moins d’un an. Les enregistrements des viols de 23 fillettes sont ainsi évoqués dans le livre de Kinsey.
Parmi les relations de Kinsey, on trouvait encore le pédophile nazi Fritz Von Balluck, qui lui a permis d’enrichir ses données. Mais, pour lui c’est la faute de la société si les enfants n’ont pas d’orgasme.
Les fillettes ont été « étudiées » dans le volume concernant les femmes, mais n’ont pas eu droit à des expériences sur la vitesse de l’orgasme. Selon certains, 609 fillettes ont été concernées par l’étude de Kinsey, dont 52% ont été violées par des étrangers, 32% par des proches, et 23% par des membres de la famille.
Financement par Rockefeller
En 1954, un député appelé Carroll Reece a réclamé que la Fondation Rockefeller cesse de financer Kinsey, qui venait de publier son « rapport sur le sexe », ce qui n’était pas du gout des conservateurs. A partir de là, le financement de l’Intitute for Sex Research s’est diversifié, avec parmi les principaux donateurs le National Institutes of Health, la fondation Rockefeller, la fondation Ford, le laboratoire Eli Lilly & Co, l’Université d’Indiana.
Le but affiché de Kinsey était de supplanter ce qu'il considérait comme l’ « ère judéo-chrétienne de procréation » en un paradis où « tout est permis » pour les bi, gays et pédophiles.
A l’époque, la fondation Rockefeller finançait Kinsey via le National Research Council’s (NRC) Committee for Research in the Problems of Sex, créé en 1921 et financé lui-même jusqu’en 1933 par le Bureau of Social Hygiene, un lobby financé par différentes fondations (dont Rockefeller), destiné à influencer les politiques publiques en matière sexuelle, de crimes et délits.
En 1934, le NRC a été directement financé par la fondation Rockefeller, sans institution écran. Et bizarrement, avant de financer Kinsey, les positions de la fondation étaient conservatrices. En 1941, Kinsey aurait reçu son premier don, de 1.600$.
En 1947, les donations de la fondation Rockefeller ont fortement augmenté, à 40.000$ par an, et a même touché jusqu’à la moitié des donations de la fondation au NRC. Alan Gregg, directeur des Sciences Médicales à la fondation Rockefeller, était le grand soutien de Kinsey, et il aurait insisté pour que la fondation continue à financer Kinsey malgré la polémique sur ses « recherches ». On sait que la fondation Rockefeller (comme la fondation Ford et d'autres) servait souvent pour des financement discrets de la part de la CIA, et les similarités des méthodes de Kinsey avec celles d’Ewen Cameron qui a travaillé sur le programme de contrôle mental MK Ultra, et même avec celles des « médecins » nazis, laisse songeurs.
On peut ajouter que selon certains, Kinsey était attiré par les théories et les expériences fumeuses d’Aleister Crowley, et aurait visité son abbaye de Thélème en Sicile[5], lors d’une grande tournée en Europe peu avant sa mort en 1955. Kinsey a aussi été proche de Kenneth Anger, un sataniste adepte de Crowley qui l’a aidé dans ses « recherches ». Leur rencontre a suivi la diffusion du film Fireworks, un des premiers films gays sado maso, réalisé par Anger en 1947.
Mais, ce sont les connexions nazies de Kinsey qui sont le mieux documentées. Ainsi, il aurait eu parmi ses collaborateurs un certain George Sylvester Viereck, qui était un espion allemand opérant à Washington DC.
Il y a eu également le Dr Friedrich Karl von Balluseck, ex membre du parti nazi jugé en 1957 à Berlin pour le meurtre à caractère sexuel d’une enfant de 10 ans[6]. Kinsey a mis la main sur le journal intime de ce pervers qui avait violé ses enfants, mais aussi des enfants juifs, polonais, allemands, au cours de ses « expériences », de 1927 à 1957. Balluseck aurait fait au moins 100 victimes[7], très probablement plus.
Et depuis ?
Les études de Kinsey, publiées à la fin des années 40, ont fait jaser, mais elles ont aussi entraîné un lobbying dans le domaine de la recherche, et bien sur dans les médias. Le magazine Play Boy, ou encore Penthouse, n’ont pas été les derniers à publier des articles et autres interviews au sujet de ces « recherches ».
Wardell Pomeroy, un co-auteur de Kinsey, était membre du comité de direction du magazine Penthouse Forum=, édité par le même groupe que Penthouse. Il est ensuite devenu directeur de l’Institute for the Advanced Study of Human Sexuality (IASHS) à San Francisco.
Kinsey, malgré l’imposture que constitue son travail, passe pour « le père de la révolution sexuelle » des années 60, qui a pris dans l’ensemble des pays développés au même moment, justement grâce à ce double lobbying universitaire et médiatique.
La Planned Parenthood Federation of America et le SIECUS (Sex Information and Education Council of the United States sont aujourd’hui des promoteurs des idées de Kinsey concernant l’éducation sexuelle des enfants. La Planned Parenthood Federation a été créée par Margaret Sanger, qui militait pour le contrôle des naissances[8] et la contraception, jusqu’à défendre un certain eugénisme car les pauvres et illettrés sont responsables de « toutes les misères de ce monde » du fait qu’ils se reproduisent. Evidemment, elle s’est d’abord penchée sur le cas de la population Noire.
Le SIECUS, créé grâce à un financement de Hugh Hefner l’éditeur de Play Boy[9], cherche à faire avancer « l’éducation sexuelle » des enfants à l’école. En 1983, la directrice du SIECUS, Mary Calderone (qui avait aussi dirigé la Planned Parenthood Federation), a déclaré que la sexualité des enfants devait être développée de la même manière que la capacité à parler et à marcher. Pour elle comme pour Kinsey, les enfants ont une capacité sexuelle dès la naissance. Elle estime que les parents devraient parler de leur sexualité avec leurs enfants, avant même qu’ils n’aillent à la maternelle. Selon elle, l’identité du genre de l’enfant n’est pas fixée avant 2 ans.
Evidemment, vu le fonds de commerce que représente Kinsey, beaucoup d’efforts sont mis dans l’obstruction et la négation des méthodes de Kinsey. Reisman, qui a commencé à soulever le lièvre dans les années 80, a subi de nombreuses plaintes et autres diffamations de la part des fans de Kinsey.
D’ailleurs, les autorités universitaires ont commencé par lui interdire purement et simplement de travailler sur les données de Kinsey. Et quand une enquête a eu lieu, l’Institut Kinsey a tout fait pour que les investigations soit stoppées, ensuite moult entraves ont été mises en place afin que Reinsman ne puisse pas se défendre des attaques du lobby pédophile.
Il faut dire que Reisman était dérangeante : elle a dénoncé le lien entre le développement de « l’industrie du porno soft » (notamment impliquant des enfants) et l’augmentation des agressions sexuelles violentes contre les enfants.
Aujourd’hui, on doit constater que l’éducation sexuelle qui est prônée pour nos enfants et la diffusion de la fumeuse « théorie du genre », par des organismes tels que l’ONU, est directement inspirée de recherches basées sur les délires de Kinsey. Hugh Hefner, de Play Boy, est l’un des contributeurs de l’Institut Kinsey, ce qui ne semble perturber personne.
Il ne faut pas s’étonner si aujourd’hui que certains veuillent diffuser du porno dans les écoles, à l’instar des jeunes socialistes suisses (un pays, justement où la régression en matière de droits des enfants est devenue catastrophique), ou encore apprendre aux enfants de 5 ans à se masturber, comme le préconise le conseil économique et social de l’ONU. Ainsi, on recommande d’apprendre aux enfants de 9 à 12 que la masturbation ne cause aucun problème mais qu’il faut le faire en privé.
On veut aussi aborder avec les jeunes de 15 à 18 ans le fait que la sexualité a plusieurs formes et qu’elle a des composants éthiques, spirituels, biologiques, sociaux… Les gamins de 5 à 8 ans auront quant à eux droit à des explications sur le comportement sexuel des adultes, notamment que « Les gens s'embrassent, s’étreignent, se touchent et s'engagent dans des comportements sexuels avec l'autre pour montrer le soin, l'amour, l'intimité physique et pour se sentir bien », mais que tout de même « les enfants ne sont pas prêts pour des contacts sexuels avec d’autres personnes ». Pour les plus grands, on veut réduire la sexualité à de simples réponses à des stimuli, comme si nous étions des insectes.
En Croatie, la « méthode Kinsey » d’éducation sexuelle a été introduite dans les écoles à l’instigation de la fondation Soros, qui manifestement joue le même rôle de propagande que la Rockefeller.
Derrière le lobbying universitaire pour cette méthode, on a aussi un proche de la revue pédophile Paidika, qui a par ailleurs recueilli les propos de Richard Gardner, l’ « inventeur » du SAP.
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[1] Le film a été écrit par un activiste gay, Bill Condon. Pour lui, les « idées » de Kinsey étaient « libératrices » et « il n’y aurait pas eu de Playboy sans les effets libérateurs de Kinsey ».
[2] Dans l’une de ses études sur 214 garçons, il se lamente que seulement 7% d’entre eux se rappellent avoir eu un « orgasme » avant 14 ans. Quant aux filles, seulement 1% des fillettes violées aurait eu un orgasme, et 80% ont dit avoir été terrorisées et s’être senties coupables.
[3] D’après Vincent Nowlis, qui fut un collaborateur de Kinsey, Rex King était un « héros » pour Kinsey parce qu’il avait eu « le courage et le génie et l’énergie sexuelle et la curiosité de mener cette odyssée durant des années... et de ne jamais s’être fait prendre ».
[4] Ces neuf pédophiles auraient travaillé avec Kinsey durant 25 ans.
[5] Aleister Crowley a d’ailleurs été éjecté de Sicile à cause des orgies et sacrifices humains qu’il pratiquait dans cette abbaye, y compris avec des enfants.
[6] Il a finalement été condamné pour les viols de la fillette mais pas pour le meurtre.
[7] Il a scrupuleusement noté les données concernant les viols d’une centaine d’enfants, d’après ce qui a été dit lors du procès et a envoyé ses résultats à Kinsey.
[8] Elle a fondé pour cela l’American Birth Control League en 1921, qui devient ensuite le Planning Familial.
[9] Hefner ne ratait pas une occasion de faire la publicité de la méthode d’éducation sexuelle diffusée par le SIECUS.