top of page

Education sexuelle : quand les Pays-Bas sont cités en exemple

Les Pays-Bas, pays où on a toujours appliqué une grande tolérance avec le proxénétisme et où la prostitution est une véritable industrie, pays qui a un temps autorisé l'existence d'un parti politique pédophile, est aujourd'hui cité en exemple à droite à gauche en matière d' "éducation sexuelle".

Pourquoi ? Parce qu'une fois de plus ce pays serait "précurseur" car, la "sexualité est abordée très tôt et de manière positive". Un rêve pour les pédophiles.

Car, bien que les cours d' "éducation sexuelle" arrivent cette année dans les écoles, collèges et lycées, pour beaucoup leur contenu s'avère insuffisant.

Il est donc question d'ajouter de nouvelles thématiques, et aussi une approche plus "directe", plus crue (ils disent plus "progressiste") de ce qu'est la sexualité, cela dès la maternelle.

On voit donc fleurir dans la presse féminine ou dans les rubriques "société" des médias commerciaux des articles dithyrambiques sur les pratiques les plus poussées en matière d' "éducation sexuelle". Les Pays-Bas, donc, seraient un exemple à suivre.

D'après les divers articles sur le sujet, apparus depuis quelques mois et jamais rédigés par des spécialistes du psychisme ou de la psychologie des enfants :

  • "Les Néerlandais et Néerlandaises bénéficient des cours d’éducation sexuelle dès la maternelle. Et ça a du bon" (on ne saura pas pourquoi dans cet article de Madmoizelle).

  • Ces séances ont pour objectif d'"instaurer un dialogue autour du corps, du sexe de la reproduction et même des relations dans un cadre sûr et familier", cela dès 4 ans. Mais surtout, continue cette journaliste dingue "Cela permet de désacraliser le sexe et de faire de ce sujet quelque chose de normal et d’habituel". On parle bien ici d'enfants de maternelle, hein.

  • Sans s'en rendre compte, elle évoque même le fond du problème avec cette approche : "En réalité, une éducation sexuelle positive à un jeune âge permet aux enfants de prendre des décisions plus en accord avec leurs propres envies". Sauf que les enfants, mineurs, n'ont pas de consentement éclairé, ils n'ont pas à avoir de sexualité à 6, 8 ou 10 ans, ni entre ni avec un adulte. Les enfants n'ont en principe pas d'"envie sexuelle" à moins d'avoir subi des interférences graves à ce niveau-là.

  • Dans une chronique sur le Huffington Post, une "chercheuse" et féministe explique que "Dans ce domaine, les Pays-Bas font office d'exemple avec un programme parmi les plus progressifs au monde. Les petits Néerlandais apprennent dès l'âge de sept ans à nommer correctement leurs organes sexuels, et que la masturbation est une façon saine et normale de découvrir son corps", et ils seraient donc plus épanouis dans leur sexualité en tant qu'adultes.

On peut parier que ce genre d'argumentation va nous être rabâchée de plus en plus souvent, jusqu'à ce que les programmes intègrent des contenus plus explicites, dès la maternelle.

D'ailleurs, il s'agit là du concept poussé aujourd'hui par l'UNESCO, l'IPPF, l'OMS & Co d' "éducation sexuelle complète", qui bien-sûr n'aurait que des avantages. Par exemple, les "Principes directeurs internationaux sur l’éducation à la sexualité" de l'UNESCO (qui sont aussi un guide de propagande qui donne tout un argumentaire en faveur dudit concept) vont tout à fait dans ce sens.

À l'affiche
Posts récents
Par tags
Pas encore de mots-clés.
Nous suivre
  • Facebook Classic
  • Twitter Classic
  • Google Classic
bottom of page